Les plantes sauvages sont partout et pourtant nous ne les voyons pas ou plus

Elles résistent pour vivre et survivre dans les conditions les plus extrêmes. On marche ou roule dessus et elles trouvent souvent le moyen de résister à ces agressions.  Elles sont communes, souvent qualifiées de « mauvaises herbes » et n’intéressent plus grand monde, enfin n’intéressaient car aujourd’hui on leur accorde davantage de considération. En effet, elles sont partie prenante de la biodiversité et abritent une faune non négligeable notamment en milieu urbain et elles sont belles.

Porter son attention sur la flore sauvage de nos jardins, quartiers, apporte une grande satisfaction et participe à la préservation des espèces.

Il est d’ailleurs possible de participer au programme scientifique participatif sauvage de ma rue : https://sauvagesdemarue.mnhn.fr/ pour contribuer à leur conservation, développement et recensement.

Des applications, par exemple PlantNet permettent de les reconnaître, mais ce n’est pas toujours facile …

Le livre d’Hubert Reeves «Malicorne. Réflexions d’un observateur de la nature, seuil, Point sciences, 2017»  m’a beaucoup inspirée pour déambuler dans les rues des villes et des villages à la recherche des Résistantes.

Christine, membre de l’association EDA